De l’utilité d’une tribune d’expert… la preuve en image…

posté par Stephanie @ 14:53
24 janvier 2014

Voici un lien vers la tribune d’expert publiée sur le site des Echos par Stéphanie Michel Amato. vous constaterez que cette tribune a attiré de nombreux lecteurs, qui ont eux-même tweeté ou partagé l’article, participant ainsi à la diffusion et au renforcement de la notoriété d’Ajem Consultants.

Ce type d’action de communication et de génération de contenu est aussi accessible à l’ensemble des entreprises qui souhaitent renforcer leur notoriété. si cela vous intéresse, commencez par lire l’article puis contactez nous au 06 86 36 53 08.

Accéder à l’article des Echos

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Les outils d’aide à la vente – plaquettes, site web, témoignages clients, diaporama , vidéo – sont indispensables pour permettre aux équipes commerciales de soutenir leur discours. Mais tout comme on ne tond pas une pelouse avec un râteau, on n’utilise pas les mêmes outils pour prospecter, fidéliser ses clients ou développer sa notoriété.

Rien ne sert de courir…il faut penser à point

Créer ses outils d’aide à la vente est une étape essentielle – voire essentielle – de la stratégie marketing, mais elle n’est pas le fruit du hasard ou de la mode. Elle nécessite un vrai travail de réflexion et suppose que l’on ait au préalable:

  • défini et formalisé un positionnement et un discours société intégrant des notions comme le métier, la vision et la mission de l’entreprise,
  • finalisé sa gamme de produits et de services et positionné l’ensemble (les célèbres 4P ou marketing mix qui nécessitent de définir le produit, le prix, le public et la promotion attachés),
  • identifié les cibles et les marchés ainsi que le circuit de distribution (réseau direct ou indirect, vente aux particuliers – BtoC, ou vente aux professionnels – BtoB, etc.),
  • rédigé un plan d‘action commercial et marketing avec des objectifs précis et atteignables – les fameux objectifs SMART-,
  • organisé son équipe commerciale (sédentaire, mobile, téléprospecteur, équipe comptoir, etc.),
  • et décrit un tunnel de vente avec chaque étape de la vente de vos produits ou services, de la première prise de contact à la signature du contrat de vente.

L’analyse peut alors commencer sur le contenu et la forme de vos outils d’aide à la vente.

Dans Outils d’aide à la vente, il y a outils…

Vos outils d’aide à la vente ont avant tout un rôle à jouer pour vous aider à signer de contrats et assurer votre développement commercial. Ce n’est pas leur nombre qui en fera le succès mais bien la pertinence des choix effectués dans le fond et la forme de vos outils. En fonction de chaque objectif, de chaque cible et de chaque étape du tunnel de vente, il s’agit de choisir l’outil le plus efficace et qui aura le meilleur retour sur investissement. Ainsi, on privilégiera plutôt :

  • une plaquette « société » dans le cadre d’un développement commercial à destination, des grands coptes ou des institutionnels avec avant tout une mise en avant de la mission et de la vision de l’entreprise,
  • un site web avec un contenu métier riche pour développer le référencement sur Internet,
  • une page facebook si on souhaite développer la notion de communauté et avoir une relation client interactive, qui permet de canaliser la communication de vos clients au sujet de votre entreprise ou de vos produits au sein d’un même espace,
  • une présentation courte d’une dizaine de diapositives au format PDF pour envoyer à des professionnels en pièce jointe à une confirmation de RDV,
  • un diaporama plus complet pour une présentation orale en soutien aux équipes commerciales lors de leurs RDV,
  • des témoignages utilisateurs ou retours d’expérience pour valoriser le savoir-faire de l’entreprise ou présenter un domaine d’expertise sur un secteur d’activité donné,
  • des mini-reportages vidéo sur site pour présenter une réalisation concrète chez un de vos clients et éventuellement l’exploiter en présentation orale (conférences, rencontres produits, etc.),
  • etc.

De la « maintenance » et de la réutilisation de vos outils d’aide à la vente…

Une fois vos outils créés, encore faut-il s’assurer de leur utilisation par les équipes commerciales et marketing et veiller à ce que les remontées terrain soient faites de façon régulière pour éviter un décalage entre le discours écrit et oral, ou encore, une forme d’improductivité liée au temps passé par les commerciaux à réécrire les outils d’aide à la vente.

Pensez aussi à la réutilisation de vos outils et de leur contenu afin de limiter les temps de création et de mise à jour. Privilégiez ainsi les outils modulaires – une plaquette présentant la philosophie d’une gamme de produits pourra être complétée par des fiches produits indépendantes – et évolutifs – on pourra choisir le format « diapositives » afin de tester un discours avant de créer une plaquette plus complète.

Un vieux proverbe chinois dit qu’ « une méthode fixe n’est pas une méthode ». Cela signifie que vos outils d’aide à la vente doivent aussi évoluer en fonction de votre discours, de votre stratégie et de votre retour d’expérience. Un élément souvent sous-estimé par les directions générales et marketing qui ont parfois tendance à créer pléthore de documents impossibles à mettre à jour de façon simple. Ainsi, pour les entreprises qui travaillent sur des secteurs d’activité spécifiques et très différents, il est souvent plus simple de créer une plaquette généraliste que l’on complètera avec des retours d’expérience par secteur d’activité qui permettront aux prospects de se projeter plus facilement. Et au responsable marketing de limiter le nombre d’outils d’aide à la vente et de faciliter leur mise à jour.

Chez Activ’3D, nous proposons un accompagnement sur les outils d’aide à la vente allant de l’audit à la recommandation et au plan d’action en passant par la création des outils mais aussi « l’implémentation » auprès des équipes commerciales. N’hésitez pas à nous contacter même pour un simple audit.

« La génération de contenu doit se décliner localement afin d’apporter une approche terrain à nos témoignages utilisateurs.»

Depuis 2009, la filiale française de Psion, société anglo-canadienne spécialisée dans la conception de terminaux métier, a choisi la génération de contenu pour mettre en avant son expertise métier. Pour cela, elle externalise  cette mission auprès d’AJEM Consultants qui génère et rédige les retours d’expérience (clients et partenaires). Ces témoignages sont également déclinés sous forme de videos et de communiqués de presse avec les sociétés LCMA et GLC, membres du réseau Activ’3D auquel appartient AJEM Consultants. Cette approche locale de la génération de contenu permet d’alimenter  le site communautaire du groupe avec du contenu en français et de proposer une approche très terrain aux clients et prospects de Psion.

« Notre force de proposition, en tant que direction marketing, repose essentiellement sur la qualité
du contenu généré aussi bien dans le fond que dans la forme. »

Stéphanie Michel Amato. Pouvez-vous présenter Psion rapidement ?

José Perez. Psion est le pionnier des ordinateurs mobiles de qualité professionnelle et de leurs applications industrielles dans le monde. Notre cœur de métier est l’innovation dans l’informatique mobile professionnelle depuis 1980. En effet, nous avons démarré comme inventeur du PDA et nous proposons aujourd’hui à nos clients, des solutions à leurs problématiques professionnelles. Parmi nos nombreux clients figurent Volkswagen, Ministère de l’Intérieur, BMW, Goodyear, Copenhagen Airports, BNSF…  Le « business model » est basé sur l’innovation ouverte, nous travaillons en collaboration directe avec nos clients et nos partenaires pour co-créer de nouvelles versions de produits mobiles, de logiciels et de services qui répondent aux attentes et besoins du marché. Cette collaboration s’appuie sur le site communautaire, www.ingenuityworking.com.

Stéphanie Michel Amato. Quelle est  la place de la génération de contenu dans la politique marketing de la filiale française?

José Perez. C’est dans un contexte international (notre siège est à Londres) mais aussi local (nous avons des filiales sur les 5 continents) que nous générons du contenu car nous poussons beaucoup notre web communautaire et les réseaux sociaux pour la promotion de notre image d’expert. Aussi, chaque filiale a intérêt à générer son propre contenu et on peut difficilement imaginer de le faire sans s’appuyer sur des prestataires eux-mêmes locaux.

Stéphanie Michel Amato. Comment est impliqué le marketing sur la gestion du site communautaire de Psion et sur les réseaux sociaux ?

José Perez. Notre force de proposition, en tant que direction marketing, repose essentiellement sur la qualité du contenu généré aussi bien dans le fond que dans la forme. En ce qui me concerne, je suis particulièrement attaché à la qualité rédactionnelle des témoignages clients et des communiqués de presse que nous produisons.

« En matière de génération de contenu, après la phase euphorique de mise en place d’outils en ligne, nous ne devrions pas perdre de vue ce qui fera toujours la différence : la créativité ! »

De même pour le format vidéo des retours d’expérience, nous recherchons une qualité professionnelle pour garantir notre crédibilité. Et qui dit qualité, dit travail sur le terrain avec des prestataires qualifiés pouvant nous apporter les compétences et les ressources dont nous ne disposons pas forcément en interne.

Stéphanie Michel Amato. Quelles sont, à votre avis, les perspectives en matière de génération de contenu ?

José Perez. Après la phase assez euphorique de l’installation de la solution informatique en elle-même – le site web communautaire de Psion par exemple – nous devrons revenir vers une notion fondamentale, celle qui nous permettra de toujours faire la différence : la créativité ! Et là, la génération de contenu va prendre une place de plus en plus importante dans la stratégie marketing des entreprises.

Stéphanie Michel Amato. Pourquoi externaliser la génération de contenu ?

José Perez. Je reste convaincu d’une chose : une chose ne changera jamais pour les responsables marketing c’est la nécessité d’avoir des professionnels, avec nous,  qui savent produire, gérer et diffuser de l’information et du contenu métier pertinent. La génération de contenu est un vrai métier, avec ses techniques et ses méthodologies !

Stéphanie Michel Amato. Comment fonctionne cette externalisation ?

José Perez. Je travaille avec trois indépendantes de la communication qui prennent en charge les projets dès leur détection. Lorsqu’un cas client est identifié, c’est-à-dire que les conditions sont réunies pour faire de ce cas client un retour d’expérience à valeur ajoutée, la rédactrice s’organise avec l’attachée de presse pour gérer les autorisations, l’organisation des interviews et le suivi du projet. Elles identifient la nécessité ou non de réaliser une vidéo et si cela est le cas, elle intègre, dans la boucle, la réalisatrice. Elles prennent en charge tout le process, de la collecte d’information à la génération du contenu en passant par les autorisations de publication. Comme elles connaissent parfaitement notre secteur d’activité, cela limite mes interventions dans le process.

Stéphanie Michel Amato. Pourquoi travailler avec un réseau de consultantes indépendantes plutôt qu’avec une agence ?

José Perez. Mais je travaille avec une grande agence ! (rires) Elle a un nom un peu compliqué, AJEM Consultants, LCMA et GLC et elle a pignon sur rue ! Je rigole un peu mais, grâce au réseau Activ’3D,  j’ai accès à un regroupement d’indépendantes qui travaillent en parfaite harmonie, qui se connaissent très bien et qui apportent, chacune à son niveau,  un travail complémentaire et surtout un travail de qualité digne d’une grosse agence !